Fairy tale

This story is for english readers only, because I wrote it, with help, directly in english; I didn't translate it in french.

48 heures pour écrire

Cette histoire n'a pas passé les sélections. Je vais changer de concours.

Je vous laisse juges.

Sorry, I didn't translate this story yet. Be patient.

La matinale en cavale

J'ai récidivé. La matinale en cavale est un concours d'écriture très concentré, un dimanche matin.

Le thème : de l'autre côté.

Le texte est là.

For translation, please be patient.

Freddy Beaugosse

L'année dernière, les quatre mains du blog ont fait travailler des élèves sur un projet littéraire.
ça donne ça.

Bonne lecture !

Sorry, the story is not translated yet. I'm working on it.

Le thème/The theme

J'ai récidivé et participé au concours "48 heures pour écrire". Le thème tombe le vendredi soir, et il faut envoyer son texte avant minuit le dimanche.

Fébrile, je tente un appel aux deux autres mains de ce blog et laisse un message : j'ai trois idées, une histoire de cyborg, la guerre du futur ou une femme qui cherche l'amour sur Meetic et rêve sur les profils qu'elle trouve.

Les deux autres mains ont répondu par texto : Meetic, sans hésiter. Sauf que ce message est allé... au père d'une copine de sa fille.



I did it again and competed for "48 hours to write". The theme is delivered on friday evening and you have to send your short story before midnight on the next sunday.

Excited, I call the two other hands of this blog and leave a message : I have three ideas, a story about cyborg, war in the future, or a woman who seeks love on Meetic and dreams on every profile she comes across.

The two other hands answered in text : meetic, without any hesitation. But this message went... to one of her daughter's friends' father.

PS : la nouvelle est entre les mains du jury pour environ un mois. Je la publie dès que j'ai les résultats. The short story belongs to the jury for one month. I publish it as soon as I know the results. This will give time to translate it. Any help to correct is welcome.

L'explorateur

Précédé par d'illustres aventuriers, Tom espère que vous irez lire son histoire, et que vous apporterez vos suffrages à son auteure. Votez si vous aimez !

Rédaction

L'avantage du travail d'écriture à plusieurs mains (je ne suis pas sûre que tous les esprits aient contribué à l'aventure), c'est qu'il me fait mieux comprendre les processus à l'oeuvre quand j'écris les trucs que je veux du fond de mon canapé (et pas quand j'essaie de faire quelque chose d'intéressant de l'inepte galimatias qu'on m'a adressé).

D'ordinaire, je trouve que je n'écris pas vite. Je veux dire, mes doigts courent sur le clavier, mais la création prend du temps.

La réflexion d'abord. J'ai des dizaines d'histoires en tête, des situations que je voudrais décrire, des confrontations qui me font saliver comme un viking devant une pile de crêpes, mais je n'arrive pas à les écrire. Ce n'est pas mûr, il faut que j'y songe encore un moment (parfois un moment de deux ans, mais vous n'êtes pas pressés, si ?)

La rédaction, ensuite. Je suis un écrivain kamikaze. Si vous regardez bien "kamikaze", ça signifie "souffle des esprits" ou "vent des dieux" si vous préférez. Il faut que ce souffle inspire mes phrases, mais je n'ai, la plupart du temps, pas de synopsis. Des notes, des points de repère pour ne pas me mélanger, mais pas de projet construit avant d'attaquer. J'ai si longuement mûri mon idée qu'elle sort et que les mots viennent. Je ne fais pas de brouillon, et je reviens rarement en arrière. Une fois que c'est écrit, j'amende, je corrige, j'enrichis ou au contraire, j'allège, mais dans l'ensemble, le premier jet est le bon. Et le début fait la fin.

Imagination

Atelier rédaction pour les élèves de seconde. Les quatre mains du blog concoctent un projet : nous allons les faire travailler sur un projet littéraire, et donc écrire tous ensemble un roman policier.

Je démarre, les élèves contribuent. Donc ils m'envoient leurs productions. La dyslexie est un fléau : il y a des textes qu'il faut lire à haute voix pour comprendre. Par exemple "aimaient" écrit "emais". Sans déconner, à l'heure où le moindre traitement de texte propose des corrections, faut le vouloir pour fer dé fote.

Il y a des dilettantes. Certains ne m'ont jamais envoyé leur suite de l'histoire. D'autres font preuve d'un tel manque d'imagination qu'on les plaint. Ils ont quinze ans et leur héros porte des vêtements de marque. Cela suffit à en faire un personnage hors du commun à leurs yeux.

J'ai joué le jeu, intégré leurs productions en les respectant au mieux. Nous avons bientôt fini, et j'espère bien pouvoir vous inviter à découvrir le destin tragique de Freddy Beaugosse.

Fil

Je n'écris par régulièrement sur le blog. J'engrange et je programme la parution des billets, mais en réalité, c'est très sporadique.

J'écris ailleurs.

Trois romans en chantier, des nouvelles en pagaïe. Je suis possédée par des ombres mouvantes, dans la touffeur des jungles thaïe ou malaise, dans la bise des steppes mongoles, dans le fracas de la mousson.

Un trajet en ascenseur me transporte de plusieurs siècles. Je marche vers la gare en écoutant le vent s'engouffrer dans la mâture de galions. Lire peut procurer de puissantes évasions, écrire me transporte. Le fil de la réalité se tisse parfois dans la toile de mes illusions. J'ai ainsi passé de longues minutes plantée à un carrefour parisien en train d'imaginer une vache fonçant dans la circulation.

Une vache ?
A Paris ?

Je vous vend pas le truc en avance, mais vous verrez.

Finaliste

Les sélections viennent de tomber.

Deux textes finalistes.

Il faut croire que ça tient la route.

Je te déteste.

Inspire.

Le jury a de l'humour.

(Et vous pouvez voter pour moi)

J'écris parce que je n'ai aucune chance de finir un marathon. Hormis un marathon littéraire.

Retour de Papouasie

J'ai au moins un lecteur, en plus de ma maman.
Mon père n'a pas acheté mon roman : ça fait un mois qu'il emménage. A son âge, tout prend du temps.

Et oui, écrire, c'est le pied (pour moi). Une toute-puissance qui mène en permanence le deuil de ce qui n'ira pas dans mon histoire.

Oyez, oyez

Aujourd'hui, je suis devenue écrivain.

Voire même écrivain de nouvelles.

Nouvelles

Fin 2013, j'ai participé à un concours de nouvelles, ce qui me vaut aujourd'hui de corriger un roman pour qu'il soit publié.

48 heures pour écrire. Thème : le pouvoir.

Elle est là.

Fin 2014, j'ai récidivé, mais je ne fais pas partie des finalistes.

48 heures pour écrire à nouveau. Thème : le courage.

Elle est là.

Je pense que la deuxième est meilleure que la première, mais le jury n'a pas été de mon avis. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez.

Bon

Je ne fais pas partie des finalistes. Place aux jeunes !

http://www.edilivre.com/communaute/2015/01/20/48-heures-pour-ecrire-votez-pour-le-prix-du-public-jusquau-25-fevrier-2015/#.VL5KuIZ_5fc

Dans deux jours, je publie ma nouvelle.

Procrastination

- Alors ? Tu sais qu'on attend !

Je sais. C'est même pour ça que je vous l'ai annoncé, ce roman. Pour que vous l'attendiez. Il est là, imprimé à la photocopieuse, reconstitué page par page. Et vous l'attendez.

Moi, je dois le corriger. Quand j'aura fini, il ne sera plus exclusivement à moi. Entendons-nous bien, je suis fière d'avoir réussi à écrire cette histoire, et très réaliste sur sa qualité. C'est un roman pour rien, un truc que j'ai écris parce que l'occasion se présentait, sur l'idée d'un autre.

Et la semaine prochaine, quand je l'aurai renvoyé à l'éditeur, il ne sera plus ma chose, et il deviendra un peu la vôtre _ si vous l'achetez.

Je ne pense pas à votre éventuelle déception de lecteur. Je ne pense qu'à cette forme de possession ultime dont je jouis depuis quelques jours. Je suis l'auteure, le démiurge de cette histoire, et il me faut renoncer à ce vertige.

Rechute

J’ai recommencé.

Pourtant, les circonstances s’y prêtaient moins. Les vikings de retour au bercail, un programme chargé pour le week-end.

Mais la tentation était trop grande.

Je suis devenue une bête de concours.

Sélection le 20 janvier 2015, verdict final le 3 mars. Je vous tiens au courant.

Ayé

Fini.

Fi-ni.

Bouclé, le roman.

Il reste pas mal de boulot, des corrections et surtout une redoutable mise en page à faire.

La première ligne date de l’année dernière, octobre précisément, mais je m’y suis vraiment mise en février. Ça fait donc pile une gestation.

Il ne va pas sortir tout de suite _ la mise sous presse est un processus assez long.

Mais je suis arrivée au bout et j’en suis très fière.

Je pourrais me sentir un peu vide à l’idée de refermer ce petit bout de vie que j’ai inventé.

Alors je vais écrire la suite.

Avec toutes mes confuses

Il y a du relâchement sur ce blog.

Il faut dire que :

-          C’est la rentrée, et les deux mains sibériennes du blog pondent des cours à toute berzingue pour illuminer de jeunes esprits en friche.

-          Mes deux mains ont rénové la cuisine. Ça m’a pris comme ça, elle était triste.

-          Elles terminent un roman, aussi. Bientôt fini. A relire. A corriger (activité quotidienne). Puis à déposer. Et à éditer. Le début d’une aventure. Et plein de questions. Mon comité éditorial est indulgent, mais cette histoire plaira-t-elle à des lecteurs ?

Mais je vous remercie, vous, d'être fidèles à ce blog.

Mention passable

Je n’ai pas remporté le prix du public. Mais je remercie les participants qui ont apprécié ma nouvelle. Et mes critiques littéraires qui ont su me complimenter sans fioritures ni bienveillance.

Ni le premier prix

Ni le deuxième.

Juste le troisième.

Je peux faire éditer un roman. Que je n’ai pas encore écrit. Les soirées s’annoncent studieuses. Mais c’est une excellente excuse pour ne pas sortir mon fer à repasser du placard : j’ai un roman à écrire.

Votez pour moi !

Je n’ai pas de programme.

Mais je n’augmenterai aucun impôt, ni local, ni autre.

Je n’ai pas d’équipe. C’est venu comme ça, un soir moche de novembre, avant un dernier week-end au pays de la soupe aux orties et un concert d’Alexandre Tharaud. J’étais parfaitement seule.

Je n’avais pas beaucoup de temps, c’était pour ça que c’était excitant. Même pas 48 heures en fait.

La suite dépend de vous.

Parce que si je gagne, je vais être obligée d’écrire un roman. Ça vous dit, un roman-feuilleton ?

Lire.

Voter pour moi. Si ça vous a plu, hein ! Et si ça vous a vraiment beaucoup plu, faites tourner !

Et si ça ne vous a pas plu, lire les autres nouvelles et voter pour elles.