Avertissement : il n’est pas
question ici des trolls de Petite Sibérie, élevés au grand air, le teint vif et
l’esprit aussi tranchant qu’un rasoir. L’espèce étudiée est le troll du net,
adepte du clavier.
Le troll est la mascotte des échanges sur internet. A la fois diurne et nocturne, il vit dans la ligne des commentaires, particulièrement à l’aise sous les articles un peu provocateurs ou très polémiques. Ironique ou désabusé, il chasse le twittos naïf ou le participant peu aguerri à l’aide de son venin et de ses blagues lourdes.
Le troll est la mascotte des échanges sur internet. A la fois diurne et nocturne, il vit dans la ligne des commentaires, particulièrement à l’aise sous les articles un peu provocateurs ou très polémiques. Ironique ou désabusé, il chasse le twittos naïf ou le participant peu aguerri à l’aide de son venin et de ses blagues lourdes.
Il parait qu’il
ne faut pas le nourrir. Je ne vois pas pourquoi. Affamé, il s’étiole et change
de crèmerie. De plus, si on sait que le mogwaï ravitaillé après minuit se
transforme en redoutable gremlin, le troll, lui, ne se métamorphose pas si on l’approvisionne, il s'installe et fait la mascotte.
Même repu, il reste un troll ironique et désabusé. Sustentons donc les trolls. Ils sont
indispensables à la bio-diversité de la toile.
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