Toutes les nations font face à l’épidémie. Et puis parfois, le sort s’acharne.
Je t’admire, mon amie, de garder intacte ta vaillance, toi qui me confies tes failles.
Je t’admire, de courir les rues de ta capitale ébranlée pour évaluer les dégâts, et sortir de leurs habitats branlants les gens dont le toit et les murs risquent encore de les ensevelir.
La moitié de la ville n’a plus de chauffage, l’eau potable va manquer. Et le temps est encore à la neige par chez toi.
Un jour, nous sortirons de chez nous.
Mais chez toi, on ne peut plus rester à l’abri. La terre a tremblé à Zagreb.
Un jour, tu reconstruiras. Un jour...
Every nation face this epidemic. And sometimes, you play bad luck.
I admire you, my friend, to keep brave, and to tell me your doubts.
I admire you, running through streets of your broken and shaken capital to estimate damages and tell people to leave their home, when roof and walls are to collapse and bury them.
There’s no more beaten system in half of the town, drinkable water will lack. And it’s still snowing, where you live.
One day, we will get out of our places.
But, where you live, people can’t stay safe in their home. Earth quaked in Zagreb.
One day, you will rebuild. One day...
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