Viking n°1
considère gravement ses frères installés pour réviser (moment de grâce :
ma progéniture plongée dans ses manuels scolaires).
-
Il
va falloir bosser sérieusement en anglais.
Je leur
répète à l’envi que, tout scientifiques que soient leurs goûts et leurs
talents, ils ne leur serviront à rien s’ils ne savent pas communiquer
correctement, et si possible dans plusieurs langues, en particulier l’anglais.
Je lève des sourcils ravis, amorce un sourire de satisfaction. Il enchaîne :
-
Non,
parce que la petite cosse parlera anglais mieux que nous. A trois ans.
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