27 novembre 2014

Anglophonie

Viking n°1 considère gravement ses frères installés pour réviser (moment de grâce : ma progéniture plongée dans ses manuels scolaires).

-          Il va falloir bosser sérieusement en anglais.

Je leur répète à l’envi que, tout scientifiques que soient leurs goûts et leurs talents, ils ne leur serviront à rien s’ils ne savent pas communiquer correctement, et si possible dans plusieurs langues, en particulier l’anglais. Je lève des sourcils ravis, amorce un sourire de satisfaction. Il enchaîne :

-          Non, parce que la petite cosse parlera anglais mieux que nous. A trois ans.

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