Cher
collègue,
Que tu
veuilles beaucoup de bien à mes fesses, et avec une telle constance depuis des
années n’est pas fait pour me choquer.
Tu es un
homme agréable, et j’aime beaucoup discuter avec toi.
Mais je n’ai
pas de mots aimables pour tes avances.
Tu me trouves
à ton goût, piquante et drôle, intéressante et attirante.
J’apprécie l’hommage.
C’est tout.
L’estime toute professionnelle que j’ai pour toi s’arrête à la porte du bureau.
Tu te doutes
un peu que l’adultère que tu entends commettre avec moi ne restreindrait pas
mes élans. Seulement, rien ne me pousse vers toi, qu’une vague sympathie, née
des galères affrontées ensemble.
Il va falloir
que tu tiennes compte de mes avertissements. Tu n'es pas du bon côté de la cravache.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire